comment créer du contenu qui inspire votre audience

Créer du contenu qui inspire mon audience c’est répondre aux problématiques de personnes sujettes à des calculs rénaux. Alors un contenu qui inspire et surtout qui motive les lecteurs de ce blog qui ont déjà eu une ou plusieurs crises de colique néphrétique se veut ciblé d’abord sur la prévention mais avec les façons pratiques et simples de l’implémenter.

Alors pour créer du contenu qui inspire les lecteurs de mon blog il faut :

– comprendre le besoin. Ayant déjà enduré deux crises de colique néphrétique extrêmement douloureuse, je peux comprendre la peur que l’on peut avoir à l’idée de revivre une nouvelle crise. En générale quand on sort d’un traumatisme telle que celui de passer un calcul rénal par les voies urinaires, on écoute attentivement notre médecin et on bannit tout de suite tous les aliments qui peuvent être à l’origine de ces calculs rénaux. Mais on se rend compte rapidement que ce n’est pas pratique dans la vie de tous les jours ; quand on va manger dehors ou à la cantine de notre bureau, cela devient vite compliqué et, en général, avec le temps on oublie l’intensité de la douleur vécue lors de la crise, et on s’éloigne des conseils de notre médecin.

– proposer des solutions pratiques et surtout facile à implémenter sans trop de restrictions ni trop de difficultés. Beaucoup laissent tomber toutes les restrictions alimentaires jusqu’à avoir des récidives. Il faut savoir qu’il y a plus de 50% de récidives dans les 5 ans et plus de 80% dans les 10 ans. Et au vu de la douleur ressentie (bien plus qu’un accouchement par l’aveu de certaines femmes), aucune récidive n’est souhaitée même à une fréquence de 20 ans. J’ai moi-même recommencé à manger pratiquement comme tout le monde 2 mois après ma crise, mais j’ai gardé quelques réflexes qui m’ont permis d’éviter les récidives. Et je partage tout cela sur ce blog, comme, par exemple, le fait de manger en même temps que les produits interdits (riches en oxalates) des aliments riches en calcium et minéraux comme les produits laitiers, pour éviter l’assimilation des oxalates, j’en parle ici. C’est un exemple d’astuce parmi d’autres facile à implémenter et qui ne nécessite pas de restriction. Ce genre d’astuce permet au lecteur d’agir contre la maladie sans se sentir démuni et sans privation. Et c’est tout l’enjeu d’un programme qui peut être suivi et d’un blog qui peut intéresser les gens. Car si un programme est trop restrictif, personne ne va le suivre, moi le premier.

– répondre clairement et simplement aux questions que l’on se pose tous sur cette maladie, en essayant au maximum de vulgariser tout le côté scientifique, parce que les gens ont besoin de comprendre ce qui se passe dans leur corps et pourquoi ils ont ce problème, sans se casser la tête avec les publications scientifiques ni avoir les explications souvent expéditrices des médecins débordés. Le plus d’un contenu intéressant est d’avoir des articles qui explique étape par étape ce qui se passe dans son corps pendant la crise, ou ce qui fait qu’un calcul se forme dans le rein, et le tout de façon à être compris de tous et que ça soit disponible à la relecture.

– ne pas hésiter à raconter sa propre expérience. Le lecteur va sentir la différence entre un site de médecin ou un magazine santé et un être humain qui parle à un autre humain. J’imagine souvent, quand j’écris mes articles, discuter et expliquer les choses à un ami devant moi. Cela me permet de garder un discours non aseptisé, pas trop compliqué scientifiquement mais surtout humain et proche des gens.

Cet article participe à l’évènement « comment créer du contenu qui inspire votre audience ?” du blog Blogueur Pro. Un des articles qui m’a beaucoup aidé à éviter la procrastination est Comment écrire un article de blog percutant en 1 heure chrono

Pour votre santé,

Stéphane

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Coronavirus – Comment travailler chez soi efficacement pendant le confinement

Nous vivons tous un confinement imposé en France et dans plusieurs pays du monde pour nous prémunir du Covid-19. Certains métiers peuvent exercer à distance depuis leur endroit de confinement. Si vous n’avez pas l’habitude de faire du télétravail, il est parfois difficile de s’organiser et de rester aussi efficace que dans un bureau. Je vais essayer d’apporter quelques idées qui m’ont aidé à m’adapter à cette situation.

Bien commencer sa journée

Pour garder le même niveau de productivité qu’au bureau, il est important de garder les habitudes saines : se lever à la même heure, prendre son petit-déjeuner habituel, sa douche, s’habiller correctement, pas forcément comme au bureau, mais ne pas rester en pyjama. Notre cerveau va distinguer les éléments de nonchalance (rester en pyjama) des éléments qui lui font comprendre qu’il faut se mettre en condition pour travailler.

Maintenant pour augmenter sa productivité, plusieurs habitudes et théories existent sur la meilleure manière de commencer sa journée. Certaines meilleures que d’autres, mais surtout aucune ne va faire l’unanimité … on est tous différents.

Un principe universel est de commencer par un mélange d’exercice physique pas trop brutal et par une séance de yoga, méditation, prière, autohypnose, affirmations, visualisation de ses objectifs

Avec le confinement vous n’allez plus beaucoup bouger. Si, par exemple, vous avez l’habitude de marcher pour aller au travail, vous allez sentir la différence après un mois de sédentarité. Il faut vous obliger à compenser ce manque d’activité chez vous. L’activité physique permet de mieux se réveiller, produire du cortisol nécessaire pour vous donner un coup de fouet (au lieu de compenser par le café), s’oxygéner le cerveau, etc.

Bien préparer sa journée

Le plus important à mon avis est de bien structurer sa journée avant même de la commencer. Il faut bien définir les objectifs et les tâches à faire, les prioriser.

« The main thing is to keep the main thing, the main thing » (le plus important est de garder la chose la plus importante, la plus importante)

Stephen Covey

Cela paraît évident, mais il suffit de le faire pour voir sa productivité se décupler.

Puis déterminer le moment de la journée où l’on a le plus d’énergie et de capacité de concentration, à effectuer la tâche la plus importante.

On croit souvent que le meilleur moment pour travailler est le matin, c’est mon cas, mais plusieurs personnes sont plus productives l’après-midi ou le soir. Avec le télétravail on peut facilement décaler ses horaires pour travailler au moment où l’on se sent le plus productif. Il suffit de se coordonner avec ses collègues. Par exemple, hormis la réunion de 10h, on va plutôt travailler sur la tâche en cours l’après-midi et le soir. Cela peut laisser le temps le matin de s’occuper des enfants et se consacrer le reste de la journée à son travail.

Dans certains cas où le travail demande à avoir une connexion internet fluide, il peut être utile de le faire le soir ou tard dans la nuit.

Organiser un espace de travail

Certains ont l’habitude de travailler de chez eux, et ont d’ores et déjà un bureau ou un espace de travail aménagé. D’autres ont été contraints par le confinement et doivent improviser. Il n’est pas judicieux de se mettre sur le canapé ou le lit avec son ordinateur portable sur les cuisses toute une journée, d’une part vous aurez des douleurs articulaires et musculaires, d’autre part, et cet avis n’engage que moi, vous serez un peu trop à l’aise pour un travail efficace et productif (vous envoyez les mauvais signaux au cerveau).

Mon conseil est d’aménager un espace de travail avec une table et au choix : une chaise, un pouf, un ballon, ou en position debout ; libre à vous de choisir et le mieux encore est d’alterner.

La position assise pendant un long moment est identifiée comme étant mauvaise pour la santé physique et mentale. L’idée est de bouger à fréquence régulière et de changer de position. On peut mettre par exemple son ordinateur sur une table basse ou un canapé et de se mettre en position accroupie par terre. Cette position serait naturelle chez plusieurs populations et chez les bébés qui n’ont pas encore été forcés de s’asseoir « correctement ». On peut alterner avec la manière japonaise de s’asseoir sur les genoux seiza (mettez des cousins en dessous) ou encore la position tailleur. Voici quelques exemples.

Se libérer des distractions

Pendant le confinement, certains ont aménagé leur espace de travail à côté des enfants pour les surveiller et les aider étudier. Dans ce cas, il faut mettre en place quelques règles. Il ne faut pas que votre enfant vous interrompe au milieu d’une réunion ou chaque fois qu’il en a envie.

Un travail efficace passe par une concentration profonde sur la tâche à accomplir. La moindre distraction nous déconnecte et l’on doit passer plusieurs minutes pour se remettre dans l’état d’esprit et le cheminement de réflexion qu’on avait.

Solution que je propose, mais à adapter à votre situation. Laisser des créneaux toutes les 45min ou 1h pour voir où ils en sont et répondre aux questions pendant 5 min ou 15 min grand maximum. Cela va vous permettre aussi de vous déconnecter de vos problématiques. Les merveilles du cerveau font qu’il continue à réfléchir dans son coin à ce que vous faisiez pour trouver une solution comme lorsque vous trouvez un mot qui vous manquait il y a des heures sans vraiment y songer.

De manière générale une pause de 15 min toutes les 1h30 environ est recommandée pour vous reposer les méninges, penser à autres choses, sociabiliser, faire un peu de sport ou faire une sieste.

Se libérer de la torture psychologique

Les informations et surtout le nombre de cas et de décès du Covid-19 en temps réel sont la plus grande distraction en cette période de confinement. Au risque de paraître paternaliste ou condescendant, je vous dirais qu’il ne sert à rien de suivre en temps réel ni toutes les 4h le nombre de nouveaux cas de Covid-19 et de décès en France et dans le monde. C’est la pire distraction en ce moment avec les sites et applications qui sont sortis de nulle part et qu’il faut absolument avoir pour pouvoir dire à son interlocuteur : « ouah t’as vu il y a eu 25 nouveaux cas entre 15h et 16h ! ». Evitez cette perte de temps. Regarder les informations une fois par jour doit être largement suffisant pour la plupart.

Restez concentrés et utilisez le temps que vous ne perdez pas dans les transports pour le passer avec votre famille ou pour commencer le projet qui vous tient à cœur depuis longtemps.

Cet article participe à l’évènement “Coronavirus : Comment travailler de chez soi efficacement pendant le confinement ?” du blog Blogueur Pro, super blog de mon ami Olivier. Et pour vous aider à voyager par procuration en ces temps de confinement vers mon pays préféré, voici le récit de mon ami Olivier lors de son voyage au Maroc.

Pour votre santé,

Stéphane Holistique

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Les causes de la présence de sang dans les urines 3/3

Suite de l’article « les causes de la présence de sang dans les urines 2/3 »

Diagnostic

Si vous avez du sang dans l’urine, votre médecin vous demandera généralement un échantillon d’urine. Une analyse d’urine complète ne s’intéressera pas uniquement aux globules rouges sanguines, mais analysera les protéines, le glucose, ou tout signe d’infection. La présence d’excès de protéines (protéinurie) est particulièrement utile car elle peut nous orienter dans les directions de l’insuffisance rénale.

Des tests supplémentaires peuvent être commandés pour déterminer la cause exacte de saignement :

  • La fonction rénale peut être évaluée à l’aide de tests sanguins pour évaluer la créatinine (CR) et l’azote uréique sanguin (BUN), entre autres choses.
  • Les tests d’imagerie peuvent inclure une échographie, une tomodensitométrie (TDM) ou une résonance d’imagerie magnétique (IRM).
  • La cystoscopie peut être utilisée pour examiner visuellement la vessie à l’aide d’un cathéter flexible muni d’une caméra qui est insérée dans l’urètre.
  • Une biopsie peut être nécessaire pour évaluer les résultats suspects dans vos reins ou votre vessie.

Conclusion

Si vous remarquez du sang dans votre urine, prenez rendez-vous avec votre médecin pour faire effectuer les tests nécessaires. Il peut y avoir beaucoup de raisons différentes, alors ne paniquez pas. De nombreuses causes sont facilement traitées.

Si votre médecin généraliste pense que le problème est dû à une maladie chronique, il ou elle peut vous référer à un spécialiste, comme un urologue, pour une enquête plus approfondie.

Cependant, si le saignement et la douleur accompagnent l’hématurie, il est important de consulter les urgences dès que possible. En fin de compte, il ne peut s’agir que d’une simple infection, mais cela pourrait aussi être une indication d’une maladie plus grave nécessitant une intervention d’urgence.

Pour votre santé,

Stéphane Holistique

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Les causes de la présence de sang dans les urines 2/3

Suite de l’article « les causes de la présence de sang dans les urines 1/3 »

Causes et traitement

L’hématurie est un symptôme fréquent survenant chez environ un tiers de toutes personnes au cours de leur vie. Un seul épisode peut être lié à une affection légère comme un traumatisme, alors que l’hématurie persistante ou récurrente évoque une affection médicale plus grave.

Parmi les causes possibles :

  • Les calculs rénaux sont souvent grands et épineux et peuvent causer des dommages pendant qu’ils traversent les uretères, la vessie ou l’urètre.
  • Les infections des voies urinaires peuvent se développer n’importe où des reins à l’urètre. Le saignement est généralement le résultat d’une infection de longue date, non traitée. En plus de la décoloration, l’urine peut être nauséabonde.
  • La cystite interstitielle est une affection qui peut produire des douleurs et des saignements lors de la miction (le fait d’uriner).
  • Les maladies rénales, aiguës et chroniques, peuvent entraîner des saignements urinaires. Les personnes atteintes de diabète sont particulièrement sujettes au développement de problèmes rénaux.
  • Hyperplasie bénigne prostatique (hypertrophie de la prostate) peut également causer des saignements, généralement chez les hommes de plus de 50 ans.
  • Le cancer de la vessie et du rein sont des causes moins probables de l’hématurie, mais le saignement est fréquent avec la formation d’une tumeur maligne. Le cancer de la prostate peut également causer des saignements dans les voies urinaires adjacentes.
  • Les médicaments anti-coagulants et antiplaquettaires, y compris l’aspirine et l’héparine, peuvent causer l’hématurie.
  • Les infections transmises sexuellement associées à la formation d’ulcères ouverts sont également des coupables possibles.
  • Une blessure à une partie des voies urinaires peut entraîner le sang dans l’urine. Les traumatismes sportifs et les accidents automobiles sont des sources courantes de ces blessures.
  • L’hématurie induite par l’exercice est une cause assez fréquente d’hématurie microscopique. Sa présence dans les recrues militaires est fréquente.

Il est important de se rappeler que l’hématurie est un symptôme et non une maladie. En tant que tel, elle n’est pas traitée symptomatiquement. Plutôt, le traitement est axé sur la résolution de la condition sous-jacente quelle qu’il soit. Si la cause du saignement est traitée avec succès, le saignement s’arrêtera naturellement.

La suite dans le prochain article.

Pour votre santé,

Stéphane Holistique

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80 % de l’eau du robinet est contaminée par des micro plastiques

Je ne me lasserai jamais de répéter que l’eau est la première étape pour une bonne prévention contre les récidives des calculs rénaux et éviter une nouvelle crise de colique néphrétique. J’ai déjà mentionné l’état de pollution de l’eau du robinet en France dans une enquête d’UFC-Que Choisir. Malheureusement il existe une pollution plus internationale. Celle des micro plastiques.

D’après une étude de l’Université de Minnesota School of Public Health, plus de 80% des échantillons collectés d’eau du robinet dans cinq continents contiennent des fibres de plastique microscopiques.

 

Le plastique est utilisé partout de nos jours, même dans les vêtements sans parler des appareils électroniques et les emballages. Ce plastique est indestructible et non biodégradable, sa seule issue est de s’effriter en tous petits morceaux ou micro particules de fibres de plastique capable de se mélanger à l’eau et de traverser les continents et les stations d’épuration d’eau jusqu’à votre robinet. Et si ces particules sont dans votre eau du robinet, elles se retrouveront aussi dans les préparations culinaires, ce n’est pas la chaleur qui va les détruire.

Ces particules peuvent devenir tellement petites, de lataille de nanomètre, qu’elles peuvent traverser la barrière intestinale etpasser dans le sang.

« Les substances chimiques du plastique font parties de notre vie quotidienne. Nous considérons que la bouteille contenant notre eau de source naturelle, le bol qui passe au micro-onde pour y réchauffer nos plats, ou le gobelet de café en polystyrene sont là pour protéger notre nourriture et boisson. Au lieu d’agir comme contenants inertes, ces plastiques se désagrègent et libèrent des substances chimiques comme des perturbateurs endocriniens BPA ou Phtalates, des retardateurs de flamme mais aussi des métaux lourds très toxiques qui sont tous absorbés à travers notre alimentation et notre corps. »
—Scott Belcher, Ph.D.
Professeur Chercheur à North Carolina State University
Porte-parole, The Endocrine Society

 

 

Les différents types de plastique :

Code 1 : Polyethylene Terephthalate (PET)

Description : 
PET est un type de plastique omniprésent utilisé dans les bouteilles d’eau, de jus et de soda. Regardez sur le dessous de votre bouteille, vous remarquerez un signe de recyclage avec « 1 » au milieu et un « PET » ou « PETE ». Il est aussi utilisé pour les vêtements en fibre de polyester. Le PET est l’un des plastiques les plus sûrs pour le stockage des aliments et il est facilement recyclable.

Impacts sur la santé :
Des études ont montré que le PET peut libérer un minéral toxique, l’antimoine, en quantité excédant les limites sécuritaires, si le plastique est soumis à une température élevée, comme une bouteille laissée dans votre voiture pendant une journée de chaleur par exemple. Ce processus est accéléré quand un PET est chauffé au micro-onde. Les effets sur la santé de l’antimoine quand il dépasse la limite sécuritaire sont des nausées, vomissements et diarrhées.

 

Code 2 : Haute densité Polyethylene (HDPE)

Description : 
Ce plastique est utilisé pour le packaging du lait, jus, eau, produits ménagers et shampoings

Impacts sur la santé : 
Comme beaucoup de plastiques, le HDPE contient des composés chimiques produits par l’homme qui imitent les œstrogènes naturelles. Ces œstrogènes chimiques sont libérés avec la chaleur (exposition au soleil, bain-marie ou mico-onde). Ces œstrogènes chimiques tombent parmi l’appellation des perturbateurs endocriniens, car en mimant les hormones naturellement présentes dans le corps, elles perturbent tout son fonctionnement. Les œstrogènes chimiques sont liées au cancer du sein, endométriose, micro pénis, cancer des testicules, mauvaise qualité de sperme, puberté précoce féminine et malformations des organes sexuelles. (US Environmental Protection Agency)

 

Code 3 : Polyvinyl Chloride (PVC)

Description :
Le PVC est connu pour être utilisé dans les canalisations et plomberie mais aussi pour plusieurs ustensiles et jouets comme ceux qui flottent dans le bain.

Impacts sur la santé :
Le PVC libère des substances chimiques toxiques en contact avec l’eau. Quatre substances utilisées pour adoucir le PVC connues sous le nom de phtalates, ont récemment été rajoutées à la liste de l’European Chemicals Agency comme « Substances hautement suspectées » pour leur rôle sur l’équilibre hormonal du corps. Les phtalates sont accusés de plusieurs problèmes de santé dont des complications de développement des organes sexuelles chez les fœtus.

 

Code 4 : Low Density Polyethylene (LDPE)

Description :
LDPE est utilisé dans les carton de lait, les gobelets pour boissons chaudes à emporter

Impacts sur la santé :
LDEP est considéré comme peu risqué.

 

Code 5 : Polypropylene (PP)

Description :
Polypropylene est utilisé dans les emballages de yaourts, de plats à emporter, de médicaments et de sirops. Les fibres de Polypropylene sont introduites dans les manteaux contre le froid, certains composants automobiles, des tapis, des équipements de laboratoire et même les billets de banque.

Impacts sur la santé :
Le Polypropylene est considéré comme sûr.

 

Code 6 : Polystyrene (PS)

Description :
Les barquettes de Polystyrène sont largement utilisées pour les repas à emporter et pour l’industrie de la pêche. Le Polystyrène est aussi utilisé pour les couvercles des boissons chaudes à emporter, les bouteilles de jus et les couverts en plastique.

Impacts sur la santé : 
Le Styrene, considéré comme potentiellement cancérigène, peut être libéré à partir du polystyrene lorsque ce dernier est en contact avec des boissons chaudes. Une étude de 2007 à écrit : « connaissant la toxicité du styrene et sa capacité à être libéré en contact de l’eau et d’autres liquides, les contenants en polystyrene doivent être évités pour l’alimentation. Et tout spécialement pour les boissons chaudes.

 

Code 7 : Autres

Description :
Tous les autres plastiques

Impacts sur la santé : 
Ce que beaucoup de plastiques ont en commun est leur utilisation du perturbateur endocrinien bisphénol A (BPA). BPA est lié à des perturbations hormonales, problèmes de fertilité, asthme et obésité. Ceci inclut le plastique polycarbonate qui est toujours utilisé pour fabriquer les biberons dans beaucoup de pays, y compris les pays développés.

 

« Ceci doit nous servir d’électrochoc. Nous savions quele plastique va revenir sur nous à travers la chaîne alimentaire. Mais là on levoit revenir à travers l’eau que l’on boit. Avons-nous une issue desecours ? »

—Muhammad Yunus, Nobel Peace Prize laureate

 

Quelques sources de micro-plastiques :

  • Bien évidemment, les sacs plastiques. La durée de vie d’un sac plastique est de 12 minutes environ, une fois jetée il peut rester 500 ans dans les océans où les tortues et poissons les avalent en les prenant pour de la nourriture. La solution est d’utiliser des sacs biodégradables ou des sacs en papier.
  • Les pailles sont utilisées 20 min ou moins pour boire une boisson. Tous les jours plus d’un milliard de pailles sont jetées après une courte utilisation. La solution est simple, buvez directement du verre.
  • Votre polaire pour vous protéger du froid. Au lavage de tous vêtements contenant des fibres plastiques comme c’est le cas de veste polaire ou de l’imperméable, beaucoup de fibre plastique se retrouvent dans l’eau de lavage puis dans les océans. La solution est de les laver que quand c’est nécessaire et d’utiliser un cycle doux pour diminuer les frottements qui libèrent les fibres plastiques.
  • Les pneus. Près de 2 milliards de pneus sont produits annuellement dans le monde. Le frottement des pneus contre les routes libère des microparticules de plastique qui se retrouve dans les cours d’eau puis dans les océans. C’est parmi les plus importantes sources de micro plastiques. Solution : plus de covoiturage et de transport en public.

Le problème est en réalité double, d’abord le plastique nous contamine directement par la nourriture ou boisson chaude dans des contenants plastiques ou pire, réchauffés dans ces derniers. Et ensuite ces contenants plastiques vont se désagréger en micro ou nano particules facilement transportables par l’eau, non filtrées par les stations d’épuration et que nous finirons par boire.

« Puisque le problème du plastique a été exclusivement crée par l’homme à travers notre indifférence, il peut être résolu par l’homme en y prêtant attention.
Maintenant, ce qu’il nous faut, c’est de la détermination pour éliminer ce problème avant qu’il nous élimine. »

—Muhammad Yunus, Nobel Peace Prize laureate

 

Pour votre santé,

Stéphane Holistique

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Comment vous aider à agir avec un principe universel

 « Le secret du succès est d’apprendre comment utiliser la douleur et le désir, au lieu de laisser la douleur et le désir vous utiliser » Anthony Robbins.

Commençons par le commencement, toutes nos actions sont poussées par deux leviers : La douleur et le désir.

L’être humain peut faire des choses incroyables pour assouvir un désir ou un plaisir ou pour éviter des douleurs ou des peurs.

Pour vous aider à être plus motivé et à agir tout de suite, posez-vous ces questions :

Quelle la douleur ou le plaisir qui est en relation directe avec mon objectif ? et l’utiliser pour se motiver.

Puis que se passerait-il si je n’atteignais pas mon objectif ? (Les sentiments négatifs qui s’y découlent)

Nous sommes nés avec le principe de gratification immédiate. Par exemple, notre corps nous demande de manger du sucre pour nous sentir bien tout de suite. Une fois le sucre ingéré, il produit des hormones de bonheur tel la sérotonine et la dopamine, le bonheur que procure ces hormones ne dure pas longtemps mais les effets sur le corps peuvent être dévastateurs à long terme.

Penser à l’effet à long terme, problème de pancréas, diabète, amputation d’une jambe… peut être efficace pour certains. Si vous réussissez à identifier et visualiser les produits sucrés puis les connecter, non pas au plaisir immédiat qu’ils procurent, mais à une amputation d’une jambe, vous n’en mangerez plus jamais de votre vie. Je ne veux pas que vous alliez jusque-là mais juste pour que vous compreniez l’idée.

Le système de motivation de l’être humain est régi par les principes de douleur et de désir. Ces principes, si utilisés correctement, peuvent augmenter votre niveau de motivation et vous pousser à agir et à atteindre vos objectifs.

Comprendre ces principes va aussi vous aider à comprendre le genre humain puisque tout le monde est guidé par des pulsions de désir ou de peur de la douleur.

Votre degré de motivation va dépendre de la manière et l’intensité avec laquelle vous identifiez la douleur ou le plaisir, avec les objectifs que vous vous fixez.

La douleur peut être court terme ou long terme. Même chose pour le plaisir. Ce que vous devez savoir, c’est qu’il n’y a pas de plaisir sans un minimum de douleur. Mais vous ne devez pas avoir peur de cette petite douleur surtout si le résultat procure beaucoup de plaisir à long terme et en continu.

A votre avis qu’elle est celle qui génère la plus grande motivation ? La douleur ou le plaisir ?

La réponse est la douleur !

La plupart des gens sont plus motivés à éviter une douleur que d’avoir du plaisir.

Par exemple, quand je parle à une personne saine physiquement, et que je luis conseille une hygiène de vie plus saine pour être en meilleure forme et avoir plus d’énergie. Je n’ai pas beaucoup de succès et je ressens peu d’enthousiasme de sa part. A l’inverse, quand je parle à une personne malade, j’ai souvent toute son attention et je vois dans ses yeux une motivation à agir et suivre mes instructions.

Autre chose, Notre cerveau a plus de facilité à se rappeler de choses négatives que positives. Les émotions liées à un événement négatifs sont très fortes. Utilisez ces émotions comme carburant et non comme sujets de lamentations. Rappelez-vous comment c’était difficile, utilisez cette mémoire pour éviter de les revivre à nouveau. Mais utilisez ces événements négatifs avec parcimonie, il ne faut pas vivre dans le passé surtout quand on se rappelle que des parties négatives.

Pour votre santé,

Stéphane HolistiqueRecherches utilisés pour trouver cet article : coliques néphrétiques traitement naturel,colique nephretique urgence,colique néphrétique traitement,traitement colique néphrétique urgence,colique néphrétique urgences,colique nephetique et diabete,colique néphrétique au urgence,colique néphrétique symptômes Urgences,hopital croix rouge peupliers urgences colique nephretique,la colique nephretique est elle une urgence vitale

 
 
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Mon astuce pour agir et éviter les récidives

Je suis souvent confronté à un problème, non, plutôt une frustration : Celle de voir des personnes malades et capables de se soigner, se laisser aller jusqu’à avoir des récidives dangereuses et handicapantes. Cela peut être une maladie comme le diabète, la goutte ou encore un calcul rénal. Ce dernier par exemple peut être évité grâce à un changement alimentaire et une bonne hygiène de vie. Mais alors pourquoi les gens continuent d’avoir des récidives et des rechutes et refusent, pour la plupart, d’agir sérieusement et concrètement ?

Il y a certes des cas plus compliqués que d’autres avec des besoins de changements plus radicaux et de ce fait une plus grande motivation à agir.

Mais pour la plupart des personnes ayant eu un ou plusieurs épisodes de calculs rénaux, la solution est plus simple que ce que l’on ne pense, il suffit d’agir et de suivre quelques recommandations alimentaires. Mais toujours est-il que près de 70% des gens font une récidive dans les 10 ans après le premier épisode !

Comment faire pour ne pas se laisser aller et éviter les récidives ?

 

Mon astuce pour agir et garder la motivation

 

J’ai trouvé une astuce incontournable que j’ai appliqué durant de longues années pour agir et ne pas laisser la maladie prendre le dessus.

Mais avant de vous dévoiler mon astuce, laissez-moi vous expliquer ce que c’est que des calculs rénaux et leurs crises. Ce sont des petits cristaux épineux de 0.3 à 2cm qui se forment dans les reins puis migrent dans un petit canal reliant les reins à la vessie. C’est à ce moment que les douleurs commencent, quand le calcul se bloque dans le petit canal de l’uretère et provoque une crise de colique néphrétique avec des vagues de douleurs, connues pour être parmi les plus insupportables.

Pour ceux, comme moi, qui ont vécu une crise de colique néphrétique, on est tous sorti de l’hôpital avec une seule idée en tête : tout faire, absolument tout faire, pour que cela ne se reproduise plus jamais.

Seulement voilà, le temps passe, le souvenir de l’épisode douloureux s’estompe puis se dissipe dans les méandres de la mémoire des sens.

Plus la mémoire de la douleur s’estompe plus la motivation qui était très forte au moment de la crise douloureuse s’affaiblit.

Il devient donc évident que la meilleure manière pour retrouver la motivation du début est non pas de revivre l’épisode littéralement (ne soyons pas sadique) mais d’avoir un souvenir tellement vivace de la crise que l’on va ressentir la peur d’avoir mal à nouveau.

Ce que je propose est une sorte de variante de rappel des objectifs. Je m’explique :

Il est connu dans le monde fantastique du développement personnel une astuce qui consiste à se rappeler et lister ses objectifs le matin au réveil pour les visualiser et se projeter vers un futur meilleur. Cela donne une motivation et une confiance en soi.

Je propose, au lieu de visualiser un soi non malade, ce qui paraît très banal quand on est en bonne santé au moment de la visualisation ; de faire au contraire une visualisation négative, de ce qui pourrait se passer si l’on ne suit pas les mesures qui vont nous éviter les récidives et qui seules peuvent nous garder justement en bonne santé.

Se rappeler de la douleur atroce,du voyage en ambulance ou en voiture/taxi vers les urgences, de la peur de mourir ou de perdre un rein, de la douleur insupportable encore une fois ; permet de réveiller la motivation d’agir pour éviter les récidives.

Pour ce faire, on peut soit :

  • Se plonger dans le dossier médical, voir les échographies/scanners, les analyses d’urine contenant du sang de la paroi déchirée de l’uretère, voir la liste des médicaments et antidouleurs.
  • Se rappeler de l’intervention chirurgicale, de la pose de la sonde.
  • Parler du dernier voyage aux urgences à un proche pour revivre les évènements.
  • Lire sur les forums ou commentaires les histoires de personnes ayant récemment fait une crise.

Je suis conscient que ce genre de méthode n’est pas bien vu par la communauté bienveillante de développement personnel. Mais il faut savoir que la peur d’être en mauvaise santé et surtout d’avoir des douleurs atroces est plus motivante que le bonheur d’être en bonne santé. Bien évidemment, il suffit à certains de se visualiser en bonne santé pour avoir la motivation nécessaire mais pour d’autres, comme votre serviteur, il faut passer par d’autres moyens plus persuasifs.

 

Pour votre santé,

Stéphane HolistiqueRecherches utilisés pour trouver cet article : calcul renal traitement naturel

 
 
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Comment appliquer les bonnes résolutions de fin d’année

Mon premier conseil pour appliquer les bonnes résolutions de fin d’année est d’arrêter d’avoir de bonnes résolutions à la fin de l’année comme l’on fait habituellement. Ou en tout cas avoir une variante. Je m’explique, quand on se motive à la fin de l’année avec tout le courant de « prendre de bonnes résolutions » et tout le monde qui vous demande « alors quelles sont tes bonnes résolutions pour l’année prochaine » on en prend quelques-unes on les note dans une liste de bonnes résolutions et on commence à se motiver à les faire surtout dans le domaine du sport et de la bonne alimentation après le carnage des repas de fêtes.

Seulement voilà, toute la motivation du monde ne vous permettra pas de suivre toutes vos bonnes résolutions toutes à la fois. Il est en effet très difficile de faire tous ces changements en même temps. Sans parler du fait que vous devez « perdre votre temps » à aller chercher la paire de chaussure qui va bien pour votre jogging ou l’abonnement annuel au club de gym, ou encore faire des recherches pendant de longues heures sur internet et visionner des dizaines voire des centaines de vidéos youtube pour perdre du poids ou mieux s’alimenter ou je ne sais autre objectif, sans commencer réellement à faire un pas vers votre objectif.

En réalité mon premier conseil pour vous est simple :

Evitez de préparer pendant des jours et des semaines le début de votre nouvelle résolution, et commencez à en faire un peu tout de suite. Vous achèterez la bonne chaussure et vous prendrez un abonnement chez le club de gym lorsque vous serez assez sûr que vous irez jusqu’au bout.

Comment savoir que vous allez aller jusqu’au bout ?

Justement il suffit de commencer, si vous réussissez à continuer cette activité pendant 3 semaines un mois, vous pouvez considérer que cette activité est entrée dans vos habitudes et routines et donc que vous pouvez maintenant investir plus dans cette activité.

Oui mais comment tenir un mois d’activité, ne serait-ce pas justement ça le problème ?

En effet souvent le vrai problème est de tenir dans la durée. Mais d’abord je voulais montrer cette erreur que tout le monde fait et où je suis passé maître en la matière, et qui est de passer son temps à préparer une activité ou un changement et le pire, c’est d’avoir la satisfaction d’avoir accompli quelque chose alors que l’on n’a rien fait au final sinon perdre son temps en recherche internet ou dépenser son argent en livres ou formations que l’on va juste survoler ou pire laisser moisir dans un coin.

Mon Deuxième conseil :

Commencez par des petits pas et assez fréquemment pour intégrer cette activité ou arrêter cette activité (tabac, alcool…) petit à petit. Sans attendre le jour parfait ou la situation parfaite pour le faire.

Et enfin, LE vrai conseil et astuces pour appliquer les bonnes résolutions de fin d’année

Est de choisir un changement à la fois.

L’être humain n’est tout simplement pas fait pour trop de changement. On se lève en général à la même heure, on fait exactement les mêmes routines du matin (salle de bain, petit-dej, s’habiller, bisou chéri(e), transport…) et même si vous n’avez pas de travail à heure fixe vous avez surement beaucoup de routines sans vous en rendre compte. Que faites-vous à chaque fois que vous montez dans votre voiture, ou que vous allumez votre ordinateur ? Vous n’y pensez même plus mais vous avez une routine inconsciente. L’idée est que pour intégrer une nouvelle activité dans votre routine quotidienne, il faut :

1 – la faire très souvent pour s’y habituer.

2 – éviter trop de changements car trop de changements va vous perturber et vous remettre dans la sécurité de votre routine habituelle càd sans cette nouvelle activité ou avec vos anciennes mauvaises habitudes

Pour récapituler ma recette :

  • Choisir un changement à la fois
  • Eviter de trop préparer avant de commencer à agir
  • Commencer petit à petit jusqu’à intégration dans les routines habituelles

Et pour plus d’astuces j’ai trouvé cet article très intéressant « Comment vous conditionner à réussir ».

D’ailleurs l’article que j’ai écrit fait partie d’un évènement entre blogueurs dont le thème est « Votre meilleure astuce pour appliquer vos bonnes résolutions” du blog Devenez Meilleur. Si mon article vous a plu, vous pouvez voter pour moi en cliquant sur ce lien.

Pour votre santé,

Stéphane HolistiqueRecherches utilisés pour trouver cet article : resolution de fin d\annee

 
 
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Votre eau du robinet est-elle contaminée ?

Si vous êtes sujets à des calculs rénaux, vous savez surement que la première chose à faire pour les prévenir est de boire beaucoup. La boisson la plus commune et la plus importante étant l’eau, nous allons nous pencher sur la qualité de l’eau du robinet des communes de France suite à une étude de l’association de consommateurs UFC-Que Choisir.

 

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Je rappelle donc qu’une consommation suffisante d’eau et de boisson est la première étape à une bonne prévention des calculs rénaux. Sans elle, l’efficacité des autres mesures de prévention se réduit fortement. Comme si on devait pagayer dans une barque avec les bras en utilisant beaucoup d’effort alors qu’on peut utiliser des rames. Je ne le répéterai jamais assez, l’eau est primordiale et est la première étape pour une prévention efficace.

Puisque nous devons ingérer une bonne quantité d’eau tous les jours et en tant que première source de liquide, il est important qu’elle soit de bonne qualité ou au minimum qu’elle ne soit pas nocive. Sur ce dernier point il y a malheureusement quelques disparités entre la qualité et l’innocuité des communes en France.

Il faut noter néanmoins que d’après l’association, 96% des consommateurs peuvent boire l’eau du robinet de leur commune en toute sécurité. En revanche 2,8 millions de personnes ont une eau polluée par les pesticides, les nitrates et le plomb et autres polluants.

Les principales causes de cette pollution d’après UFC-Que Choisir :

  • L’agriculture. Avec les pesticides et les nitrates, principalement en région rurales.
  • Des bactéries en zone montagneuse
  • Des composants toxiques émanant des canalisations des logements : plomb, cuivre, nickel ou chlorure de vinyle du PVC

Pour cette dernière cause de pollution, il est difficile de la quantifier. Chaque immeuble a sa propre canalisation. Les analyses sont faites sur quelques échantillons de logements et si une pollution existe elle peut être due à des canalisations anciennes, vétustes ou corrodées et ne doit pas être confondue avec la qualité du traitement de l’eau. En cas de doute, UFC-Que Choisir recommande de laisser couler l’eau une ou deux minutes le matin ou après une absence, afin d’évacuer ce qui a stagné dans les canalisations, avant de l’utiliser.

L’étude utilise 50 critères dont 5 représentent la pollution des canalisations des logements.

Les 45 autres critères concernent la qualité intrinsèque de l’eau tel qu’elle sort de la station de traitement.

Voici la carte interactive qui met en forme le résultat de l’étude.

« Le pictogramme global sur la ville est coloré en fonction du résultat obtenu sur les 45 critères relatifs à la qualité intrinsèque de l’eau et, s’il existe une non-conformité relevée sur l’un des 5 critères liés aux canalisations, un panneau « attention » a été intégré. »

Si vous avez un pictogramme vert clair ou foncé, tout va bien, sinon mieux vaut éviter l’eau du robinet de votre commune.

« l’étude de l’UFC-Que Choisir ne repose pas sur ses relevés propres mais bien sur les relevés réalisés par les Agences régionales de santé (ARS) entre février 2014 et août 2016 pour les 50 critères réglementaires de conformité, et disponibles sur le site du ministère de la Santé. »

Pourtant le ministère de la santé ne diffuse pas suffisamment d’alerte pour la qualité de l’eau. La raison est très simple. Les autorités sont plus soucieuses d’éviter les infections bactériologiques que les contaminations toxiques et pollutions des eaux. Vous avez peut-être deviné pourquoi. La première a une conséquence directe sur notre santé alors que l’autre n’a qu’une conséquence à long terme et donc peu visible et où il est difficile de démontrer une relation de cause à effet à postériori.

 

Pour votre santé,

Stéphane HolistiqueRecherches utilisés pour trouver cet article : coliques néphrétiques quelle eau boire,eau du robinet contaminée,https://colique-nephretique fr/votre-eau-du-robinet-est-elle-contaminee/,quelle eau boire en cas de calculs rénaux,quelle est la meilleur eau pour les calculs renaux d oxiliate de calcium,boire cocacola pour colite,boire quelle eau en cas de collique nefretique,quelle eau achetée pour les coliques néphretiques,eau colique néphrétique,colloque nephrzrique quelle eau

 
 
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Grossesse, colique néphrétique et calcul rénal

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Diagnostic et traitement de la colique néphrétique pendant la grossesse

La première cause de douleurs abdominales qui nécessite une hospitalisation chez les femmes enceintes, en dehors des problèmes obstétricaux de la grossesse, est la douleur de la colique néphrétique engendrée par des calculs rénaux [1,2]. Dans 80 à 90% des cas, les calculs rénaux sont découverts après le premier trimestre de la grossesse, et se trouvent deux fois plus au niveau de l’uretère (canal reliant le rein à la vessie) que dans le pelvis des reins (sas ou passage entre le rein et l’uretère). Ces cas affectent les 2 uretères de chaque rein (gauche et droit) de manière équitable [3,4].

Le diagnostic d’une lithiase rénale (présence de calculs rénaux) peut être très compliqué pendant la grossesse. D’abord, les effets secondaires de l’anesthésie, les radiations et la chirurgie peuvent compliquer le diagnostic et le traitement habituel. Ensuite, beaucoup de symptômes de calculs rénaux peuvent être confondus avec la grossesse de manière générale et aussi avec d’autres sources de douleurs abdominales. Par exemple, dans une étude 1992 [5], 28% des patientes enceintes et ayant des calculs rénaux ont été diagnostiquées à tort en appendicite, diverticulite, désinsertion placentaire ou travail prématuré.

La plupart des calculs (64-84%) passent spontanément, surtout s’ils mesurent moins de 4mm [5,6]. Par contre, si un calcul rénal ne passe pas, à cause d’une taille supérieur à 7mm par exemple, il peut provoquer des contractions utérines et le début du travail d’accouchement de manière prématurée (rare), une douleur insupportable, une infection urinaire (10-20% des cas) pouvant causer une septicémie (infection générale du corps plus rare) ou tout simplement interférer avec la progression normale du travail d’accouchement et avoir des conséquences sur la santé du bébé. Il fut un temps où les épisodes de coliques néphrétiques étaient associés à des accouchements spontanés, mais ces cas sont devenus extrêmement rares de nos jours.

Parmi les moyens d’imagerie médicale utilisés, l’échographie rénale est devenue le diagnostic de première intention pour les femmes enceintes. L’IRM n’a pas d’utilité pour le diagnostic des calculs rénaux et le scanner est réservé au cas les plus complexes. De plus, idéalement, aucune radiation ni aucun rayon ionisant (radio ou scanner) ne devrait être utilisé lors des deux premiers trimestres dans la mesure du possible.

Le traitement typique des coliques néphrétiques et calculs rénaux pendant une grossesse est, dans un premier temps non chirurgical, à base de repos, d’hydratation et d’antidouleurs, sachant que les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), par exemple, sont strictement contre-indiqués chez la femme enceinte à partir du 6ème mois de la grossesse, soit 24 semaines d’aménorrhée (SA), en raison d’un risque de toxicité fœtale et néonatale grave, voire mortelle. Dans le cas de l’ibuprofène, le CRAT (Centre de référence sur les agents tératogènes) conseille d’avoir plutôt recours à d’autres antalgiques, comme le paracétamol, « quel que soit le terme de la grossesse », ou l’aspirine, qui devra être utilisé ponctuellement et stoppé au-delà de 24 SA, comme n’importe quel AINS [7].

Si le traitement typique des coliques néphrétiques ne suffit pas, des mesures plus invasives peuvent être proposées pour soulager la patiente, comme une pose d’une sonde, une urétéroscopie pour casser ou extraire les calculs en passant par le conduit urinaire ou encore une néphrostomie percutanée pour diminuer la pression à l’intérieur du rein en faisant extraire les urines directement du rein en passant par le dos.

Le diagnostic et le traitement des calculs rénaux pendant la grossesse est complexe. Néanmoins, ces nouveautés technologiques et l’expérience des urologues permettent, en générale, soit un soulagement temporaire soit une solution définitive aux crises de coliques néphrétiques qui sont délicates à gérer pendant une grossesse. Ainsi plusieurs traitements peuvent être administrés avec le minimum de risque pour le bébé et sa maman.

Meilleur traitement : prévention

Mais le meilleur traitement reste la prévention. Plusieurs spécialistes ont suggéré des mesures préventives avant une grossesse pour éviter un traitement en urgence pendant la grossesse. Denstedt and Razvi (1992) [8] propose un traitement préventif pour toutes les femmes désirant avoir un enfant ET présentant des calculs rénaux dans les calices. Car d’après l’étude de Glowacki et Al (1992) [9], qui ont suivi 107 patients ayant des calculs rénaux au niveau des calices mais sans symptômes de coliques néphrétiques, 31.8% d’entre eux ont eu des coliques néphrétiques pendant les 31 mois d’observation. Si cette colique néphrétique survenait pendant une grossesse, le traitement devient plus complexe, il est préférable de commencer une grossesse sans calculs rénaux dans les reins. De plus la pression de l’utérus et des organes abdominaux, et les transformations multiples et complexes qui surviennent pendant une grossesse pourrait favoriser la migration de calcul des calices, bien cachés dans les reins, vers le pelvis rénal où il est plus facile d’emprunter le canal de l’uretère vers la vessie. Biyani et Joyce (2002) ont également proposé une évaluation métabolique pour les personnes ayant des calculs rénaux et des mesures de prévention avant une grossesse [3]. Les femmes atteintes de cystinurie devraient faire des tests génétiques et préparer la prévention des calculs et la gestion de leurs maladies avant de tomber enceinte [10].

Il y a-t-il un risque accentué de colique néphrétique pendant la grossesse ?

Avec la grossesse, le corps change, les hormones changent, tout change tellement que plusieurs femmes enceintes se retrouvent avec des calculs rénaux pendant la grossesse et qui se manifestent généralement pendant le 2ème et 3ème trimestre [3,4]. Est-ce une coïncidence ou un fait ? C’est ce que nous allons essayer de découvrir.

La stagnation des urines et l’augmentation du calcium dans celles-ci ont longtemps été pointés du doigt pour expliquer les crises de coliques néphrétiques pendant la grossesse. Mais ces explications sont discutables.

Parmi les événements susceptibles accroître le risque de calculs rénaux chez la femme enceinte [8] :

  • Une diminution du péristaltisme de l’uretère : diminution de la contraction des muscles de l’uretère qui propulsent les urines du rein vers la vessie.
  • Une hydronéphrose physiologique : dilatation du rein et du bassinet entre le rein et l’uretère, qui empêche l’écoulement normal des urines [11].
  • Une infection
  • Augmentation du calcium dans les urines

D’un autre côté, l’augmentation de plusieurs inhibiteurs de calculs rénaux dont : citrate, magnésium, glycosaminoglycanes ; neutralisent les effets lithogènes (favorisant les calculs rénaux) de la grossesse.

Pendant la grossesse le volume sanguin augmente d’environ 30%, la filtration du rein également et donc les concentrations en calcium, acide urique, magnésium, citrate et autres composants des urines également. Tout est relatif.

Risque de formation de calcul rénal d’acide urique

Pour qu’un calcul rénal d’acide urique se forme dans les reins, il faut une concentration élevée et constante d’acide urique dans les urines ou une déshydratation. Mais le phénomène le plus significatif est l’acidité des urines. Comme expliqué dans l’article spécifique sur les calculs rénaux d’acide urique, pour que les molécules d’acide urique s’agglutinent entre elles il faut des urines acides d’un PH de moins 5.5, à l’inverse il ne peut absolument pas y avoir de calculs d’acide urique dans des urines alcalines, PH supérieur à 7. Or les urines des femmes enceintes sont plutôt alcalines, à cause d’une augmentation des citrates grâce notamment aux œstrogènes en grande quantité pendant la grossesse (cf. »Hommes et femmes sont-ils égaux face aux coliques néphrétiques 1/2« ), et une diminution des purines qui donnent de l’acide urique et qui produit une partie de l’acidité des urines. De ce fait les femmes enceintes sont plutôt protégées du risque de formation de nouveaux calculs d’acide urique pendant la grossesse. S’il y a une colique néphrétique, c’est soit un calcul formé avant la grossesse, soit une exception à la règle.

Risque de formation de calcul d’oxalate ou de phosphate de calcium

Des concentrations élevées de calcium et notamment d’oxalate de calcium ont été déterminées chez les femmes enceintes, pourtant l’incidence des calculs rénaux n’est pas plus élevée par rapport aux autres femmes. De nos jours les femmes enceintes se voient souvent prescrire de la vitamine D surtout dans les pays situés plus au nord (Europe, Canada…). En plus de cette supplémentation, le placenta produit de la vitamine D. La vitamine D est essentielle mais elle augmente l’absorption du calcium dans les intestins et par la même occasion le rejet du calcium dans les urines. Rajouter à cela l’augmentation de la prise d’aliments riches en calcium pendant une grossesse pour une meilleure santé osseuse du fœtus, le calcium se retrouve à 200-300% plus élevé dans les urines chez une femme enceinte que chez une femme saine non enceinte. Une telle concentration de calcium dans les urines devraient être un terrain favorable à la prolifération de cristaux d’oxalate de calcium et de phosphate de calcium qui pourront s’agglutiner entre eux et avec d’autres matières organiques des urines et former rapidement de nouveaux calculs rénaux. Mais heureusement, la concentration des inhibiteurs de cristallisation tels que citrate, magnésium, glycosaminoglycanes augmentent aussi pendant la grossesse diminuant ainsi le risque de former de nouveaux calculs. On revient ainsi à l’équilibre. Pas plus de risque pendant ou en dehors de la grossesse.

Risque de calcul rénal de Struvite

Les calculs de struvite se forment à la suite d’une infection urinaire. Voir l’explication complète dans cet article. Les cystites sont assez fréquentes chez les femmes enceintes, ceci devrait théoriquement augmenter le risque de formation de calcul rénal de struvite. Mais je n’ai trouvé aucune donnée concrète à ce sujet. Certes, l’augmentation de la progestérone pendant la grossesse dilate et relâche les muscles des voies urinaires ce qui facilite la stagnation des bactéries. Ce que j’ai trouvé en revanche est qu’aux Etats-Unis, 82.5% des femmes ont pris des médicaments pendant leur grossesse. Et dans la moitié des cas il s’agissait d’un antibiotique. Et une femme sur 5 (21.6%) a pris au moins une fois pendant la grossesse du nitrofurantoïne, antibiotique indiqué contre les cystites [12]. L’usage de cet antibiotique ne pose pas de problème s’il est utilisé pendant une courte période selon le Centre de référence sur les agents tératogènes (CRAT) [13]. Mais il est toujours préférable d’éviter tous médicaments pendant la grossesse. Essayez de maintenir une bonne hygiène pour éviter les infections et les coliques néphrétiques pendant la grossesse, quelques conseils en passant :

  • Après avoir uriner, essuyez-vous d’avant en arrière, puis lavez-vous avec de l’eau et ensuite essuyez-vous avec une petite serviette uniquement dédiée à cette partie du corps
  • Faire une toilette intime 1 à 2 fois par jour maximum pour ne pas déséquilibrer la flore vaginale par un excès d’hygiène, et bien sécher ensuite pour éviter la macération dans les sous-vêtements.
  • Toujours uriner après un coït
  • Buvez suffisamment pour éviter que les urines stagnent.

« Très fréquente chez la femme enceinte, l’infection urinaire doit être dépistée mensuellement par bandelette urinaire, et si cette dernière est positive, conduire à la réalisation d’un ECBU même en l’absence de signe urinaire. En effet, le risque est l’évolution vers la pyélonéphrite gravidique, facteur d’accouchement prématuré ou de retard de croissance intra-utérin » [14].

Il parait que l’incidence des calculs rénaux est la même pour les femmes enceintes et non enceintes. Il se peut cependant que la pression de l’utérus et des organes abdominaux fasse ressortir les calculs cachés dans les calices des reins, formés avant ou pendant la grossesse et provoquer ainsi des coliques néphrétiques en essayant d’emprunter l’uretère, qui lui aussi subit une pression de l’utérus. Mais cela ne dit pas si le calcul a été formé avant ou pendant la grossesse. Car tout semble indiquer que le risque est moindre pendant une grossesse. Un calcul qui pouvait passer spontanément avant la grossesse pourrait avoir du mal à passer pendant la grossesse. Mais tout cela ne doit pas être une règle générale absolue. Nous sommes tous différents et à chacun de nous à ses caractéristiques et ses particularités.

Pour votre santé,

Stéphane Holistique

Sources :

[1] Folger GK. Pain and pregnancy; treatment of painful states complicating pregnancy, with particular emphasis on urinary calculi. Obstet Gynecol. 1955 Apr.

[2] Rodriguez PN, Klein AS. Management of urolithiasis during pregnancy. Surg Gynecol Obstet. 1988 Feb.

[3] Biyani CS, Joyce AD. Urolithiasis in pregnancy. II: management. BJU int. 2002 May.

[4] Swanson SK, Heilman RL, Eversman WG. Urinary tract stones in pregnancy. Surg Clin North Am. 1995 Feb.

[5] Stothers L, Lee LM. Renal colic in pregnancy. Journal Urol. 1992 Nov.

[6] Parulkar BG, Hopkins TB, Wollin MR, Howard PJ Jr, Lal A. Renal colic during pregnancy: a case for conservative treatment. Journal Urol. 1998 Feb.

[7] Vincent Richeux. Plus de 80% des américaines prennent un médicament pendant leur grossesse – Medscape – 14 août 2015.

[8] Denstedt JD, Razvi H. Management of urinary calculi during pregnancy. Journal Urol. 1992 Sep.

[9] Glowacki LS, Beecroft ML, Cook RJ, Pahl D, Churchill DN. The natural history of asymptomatic urolithiasis. J Urol. 1992 Feb.

[10] Gregory MC, Marshall MA. Pregnancy and cystinuria. Lancet. 1983 Nov.

[11] Physiological hydronephrosis in pregnancy: Occurrence and possible causes. An MRI study http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1166708717304098

[12] Vincent Richeux. Plus de 80% des américaines prennent un médicament pendant leur grossesse – Medscape – 14 août 2015.

[13] http://lecrat.fr/articleSearchSaisie.php?recherche=nitrofuranto%C3%AFne

[14] Dr Thanh Doco-Lecompte, Dr Lorraine Letranchant, la revue du praticien Vol.60 juin 2010

Source photo : Paladin27Recherches utilisés pour trouver cet article : https://colique-nephretique fr/grossesse-colique-nephretique-et-calculs-renaux/,colique néphrétique grossesse,colique nephretique femme enceinte,colique néphrétique et grossesse,calculs oxalate de calcium traitement,calculs renaux pendant grossesse,coliques néphrétiques grossesse,traitement colique nephretique chez la femme enceinte,colique néphrétique grossesse cngof,coliques néphrétiques en ceinte

 
 
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Les nanoparticules, vraie cause des calculs rénaux ?

Les nanoparticules sont des particules extrêmement petites de l’ordre de 1 à 100 nanomètre, sachant qu’un nanomètre correspond à 0,000000001 m. L’intérêt et aussi le danger des nanoparticules est qu’elles sont tellement petites, plus petite qu’une cellule du corps, qu’elles peuvent traverser notre peau, nos organes et même la barrière encéphalique qui protège notre cerveau. De récentes recherches médicales utilisent certaines nanoparticules pour délivrer un médicament directement à la partie malade sans toucher les parties saines du corps par exemple pour un cancer. D’autres nanoparticules, comme celles rejetées par la combustion du diesel, provoquent des problèmes pulmonaires. D’autres encore sont soupçonnées de favoriser les calculs rénaux.

 

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Les chercheurs de Mayo Clinic (fédération hospitalo-universitaire et de recherche américaine) ont réussi à isoler des nanoparticules dans des calculs rénaux. D’après le Journal of Investigative Medicine, ceci pourrait bien résoudre le mystère de la formation des calculs rénaux. L’existence de nanoparticules vivantes est un débat dans la communauté scientifiques et encore plus en ce qui concerne les nano bactéries. Mais cette fois les chercheurs ont réussi à isoler une signature génétique prouvant que des nanoparticules sont vivantes et sont liées à la formation des calculs rénaux.

Les calculs rénaux sont associés à une calcification, processus pendant lequel du calcium se dépose dans les tissus, organes et vaisseaux sanguins. La cause de ces dépôts est toujours inconnue. Des études ont lié cette calcification à la présence de particules de la taille de nanomètre qui sont soupçonnées de jouer un rôle dans la formation des calculs rénaux.

« Nous sommes en train d’étudier comment un calcul rénal commence par une petite calcification pour ensuite grossir en pierre dans le rein » a révélé John Lieske de Mayo Clinic, pour continuer « dans le laboratoire, nous avons isolé des nanoparticules dans les tissus et calculs rénaux, et nous les avons mis en culture avec succès. Ceci ne confirme pas clairement le rôle des nanoparticules dans la formation des calculs rénaux, mais propose une vision qui était à ce jour inconnu ».

Une autre étude préliminaire de Mayo Clinic suggère que des nanoparticules d’un échantillon humain ont des caractéristiques communes avec des bactéries calcifiées. Ce qui pourrait expliquer une calcification dans les reins puis la formation de calculs rénaux à base de calcium. Pour l’instant les conclusions ne sont pas assez satisfaisantes pour confirmer cette théorie.

Les outils et les processus de recherche de nanoparticules sont perfectibles et ne sont pas complètement fiables à l’heure actuelle. Les chercheurs pensent que les résultats ne sont pas concluants uniquement à cause de l’incapacité à appliquer les techniques de recherches habituelles au monde des nanoparticules et nano bactéries. Les monde des nanoparticules est un monde à part qu’on commence à peine à toucher des doigts. L’avenir nous réservera des surprises dans ce monde, bonne ou mauvaise d’ailleurs.

 

Pour votre santé,

Stéphane Holistique

 

Sources :

Proteomic evaluation of biologic nanoparticles isolated from human kidney stones and calcified arteries.

Putative nanobacteria represent physiological remnants and culture by-products of normal calcium homeostasis.

Source Image : http://leblogdedoczaius.over-blog.com/article-vivre-avec-les-nanoparticules-naturelles-62053178.html

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Elle va aux urgences pour des calculs rénaux et fini par avoir un bébé

Entrée aux urgences pour des douleurs de coliques néphrétiques mais qui s’avère être des douleurs d’accouchement.

Image du bébé surprise

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